Des enjeux cruciaux, tel que l’avenir du pétrole, seront abordées lors de la COP28 à Dubaï. On revient sur les autres grands défis à relever et la polémique lors de ce sommet mondial pour le climat
Petite cession de rattrapage si tu ne connais pas la COP : ses objectifs, sa composition.
Lors de la COP28, il est prévu que les états membres signent le tout premier "Bilan Mondial", dont les conclusions se baseront sur le rapport de synthèse du GIEC*. Résultat de huit années d'études, ce rapport a déjà clairement établi un constat inquiétant : l'ampleur du changement climatique et de ses répercussions semble plus grave que ce qui avait été anticipé. Toutefois, il est encore envisageable de renverser la situation !
*Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)
Dans ce contexte, le tout premier "Bilan Mondial" est appelé à accomplir plusieurs missions cruciales, notamment :
Dans la lutte contre le dérèglement climatique, il est impératif d'adopter une approche équitable.
En plus d'éviter d'aggraver la dette climatique des pays vulnérables, ce fond vise à améliorer le financement des mesures d'adaptation et à renforcer la solidarité entre les pays développés et en développement.
L'adaptation au changement climatique signifie prendre des mesures concrètes, construire des infrastructures et élaborer des stratégies pour réduire les dommages causés par le changement climatique, que ce soit pour nos activités humaines ou pour la nature.
Souvent évoquées lors des dernières conférences climatiques, les énergies fossiles restent un sujet délicat. D’un côté, son utilisation est essentielle pour développer l’économie des pays, mais elle cause d'autre part des dégâts irréversibles sur notre planète.
Cependant, lors de la dernière conférence climatique (COP27), seules des mesures progressives pour réduire l'utilisation du charbon ont été officiellement adoptées, laissant de côté les autres énergies fossiles comme le pétrole.
La question qui se pose est la suivante : étant donné que Dubaï est un acteur clé de l'industrie pétrolière, est-ce que ce sujet délicat sera évité lors de la prochaine COP28 ? Ensuite, faut-il être une ville parfaitement irréprochable d’un point de vue écologique pour accueillir la COP ?
À noter : la production de pétrole, de gaz naturel et de charbon contribue à hauteur de 79 % des émissions mondiales !
Petite cession de rattrapage si tu ne connais pas la COP : ses objectifs, sa composition.
Lors de la COP28, il est prévu que les états membres signent le tout premier "Bilan Mondial", dont les conclusions se baseront sur le rapport de synthèse du GIEC*. Résultat de huit années d'études, ce rapport a déjà clairement établi un constat inquiétant : l'ampleur du changement climatique et de ses répercussions semble plus grave que ce qui avait été anticipé. Toutefois, il est encore envisageable de renverser la situation !
*Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)
Dans ce contexte, le tout premier "Bilan Mondial" est appelé à accomplir plusieurs missions cruciales, notamment :
Dans la lutte contre le dérèglement climatique, il est impératif d'adopter une approche équitable.
En plus d'éviter d'aggraver la dette climatique des pays vulnérables, ce fond vise à améliorer le financement des mesures d'adaptation et à renforcer la solidarité entre les pays développés et en développement.
L'adaptation au changement climatique signifie prendre des mesures concrètes, construire des infrastructures et élaborer des stratégies pour réduire les dommages causés par le changement climatique, que ce soit pour nos activités humaines ou pour la nature.
Souvent évoquées lors des dernières conférences climatiques, les énergies fossiles restent un sujet délicat. D’un côté, son utilisation est essentielle pour développer l’économie des pays, mais elle cause d'autre part des dégâts irréversibles sur notre planète.
Cependant, lors de la dernière conférence climatique (COP27), seules des mesures progressives pour réduire l'utilisation du charbon ont été officiellement adoptées, laissant de côté les autres énergies fossiles comme le pétrole.
La question qui se pose est la suivante : étant donné que Dubaï est un acteur clé de l'industrie pétrolière, est-ce que ce sujet délicat sera évité lors de la prochaine COP28 ? Ensuite, faut-il être une ville parfaitement irréprochable d’un point de vue écologique pour accueillir la COP ?
À noter : la production de pétrole, de gaz naturel et de charbon contribue à hauteur de 79 % des émissions mondiales !